À la fin du Second Empire (1852-1870), Victor Hugo s’impose comme l’un des plus farouches et virulents opposants à Napoléon III. Les racines de leur antagonisme remontent aux turbulences politiques de la Seconde République (1848-1852). Bien qu’optimiste au moment de l’élection de Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de la République en…